Rentrant d’un séjour chez des amis je découvre cet extravagant droit de réponse du Maire de La Bresse à deux de mes articles. Droit de réponse qui a été publié in extenso le 06 août dernier ici même. Je vous livre ci-après quelques-unes des réflexions que m’ont inspiré ces lignes. En noir extraits du texte du Maire. En rouge mes commentaires
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S’agissant en premier lieu du Conseil Municipal du 22 juin, vous indiquez au premier paragraphe, 6ème ligne, la présence au sein du Conseil Municipal « de quelques talents d’acteurs et de nombreux figurants » :
Je n’accepte pas que vous traitiez de la sorte les membres de notre Conseil Municipal, reléguant les conseillers municipaux à de simples figurants, témoignant d’un mépris frisant l’outrage pour des femmes et des hommes qui se sont engagés, qui se sont présentés et qui ont eu le courage de passer le scrutin démocratique pour représenter l’ensemble de la population bressaude.
Comme vous y allez Monsieur le Maire! D’emblée vous voilà embarqué dans une opération de dramatisation de propos bien innocents, que pour faire bonne mesure vous interprétez outrancièrement. Il n’y a aucune indignité à faire le figurant, beaucoup de grands acteurs ont débuté ainsi et ont éprouvé dans ce rôle leur premières émotions dramatiques. Et où ai-je écrit que les figurants étaient les conseillers municipaux ? Nulle part. Décidément votre « droit de réponse » démarre bien mal et nous verrons que le procédé utilisé, pour ne pas dire la grosse ficelle est toujours le même, déformer les propos et faire dire aux mots le contraire de ce qu’ils signifient.
Au 3ème paragraphe, ligne 4, vous indiquez avoir été véhémentement mis en cause dans la tribune du groupe majoritaire dans le dernier bulletin municipal de juillet/août, ce que je conteste. En effet, il ne nous est pas possible de vous mettre en cause au travers de ce bulletin municipal pour la simple et bonne raison que nous ne vous connaissons pas, M. Gracchus, puisque vous écrivez sous un bien peu courageux mais fort commode pseudo, alors même qu’un onglet intitulé « pseudos et modération, pourquoi ?» sur la page d’accueil de votre site précise en PS que « tous les textes publiés sur le blog ont un auteur clairement identifié qui en assume le contenu. »
Ce n’est visiblement pas votre cas.
Comble d’ironie, il est même précisé, dans la charte de votre blog que « toute usurpation d’identité ou choix d’un pseudo visant à créer une confusion sur l’identité du contributeur pourra donner lieu à une suppression des droit de participation ».
Seconde illustration du procédé « grosse ficelle ». Oui Monsieur le Maire, je signe Gracchus, et les responsables et animateurs du Blog connaissent mon identité. Cette dernière n’est pas usurpée. Voilà ce que signifie la phrase que vous citez. Comment pouvez-vous penser qu’un pseudo ouvre à l’identification de celui qui l’utilise ? C’est une contradiction dans les termes !
J’assume le contenu de mes articles et il n’est point besoin pour cela que je révèle mon identité à tout un chacun. Je n’ai pas la prétention de me comparer à ces auteurs, certains très grands, qui ont écrit sous un pseudonyme; je le fais simplement pour protéger mes proches et ma vie privée. Je regrette d’ailleurs profondément, d’être dans l’obligation d’agir ainsi, car cela n’est pas un signe de bonne santé démocratique de notre société.
Au niveau du paragraphe 4, 1ère et 2ème lignes, vous soulignez que « les textes des rapports présentés au Conseil Municipal manquent singulièrement de ressort dramatique, voire d’exultation poétique »
Les rapports au Conseil Municipal n’ont effectivement pas cette vocation et votre appréciation dénote une méconnaissance du fonctionnement d’un conseil municipal.
Allons, allons, seriez-vous totalement démuni d’humour ?
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Au niveau des rapports d’activité des DSP, au paragraphe 7 relatif à celui concernant la DSP du domaine skiable de La Bresse-Hohneck, vous laissez entendre que c’est l’actuelle municipalité et la précédente aussi d’ailleurs qui auraient permis, au mépris des règlements sanitaires, à la société Remy Loisirs d’installer, chaque hiver depuis plusieurs années, un parking de 400 véhicules au Pont de Bramont, sur la zone de protection rapprochée de la source des Planches.
Cette information est totalement erronée puisque depuis son installation l’actuelle municipalité que je conduis a, au contraire, tout entrepris pour que justement ce ne soit plus le cas, envers et contre un certain M. Humbert qui –sous couvert de défense de l’environnement, fait tout pour empêcher la réalisation d’un autre parking au niveau du Pont de Blanchemer, cette fois en dehors de la zone de protection rapprochée de la source des Planches.
Ce nouveau parking est justement destiné à remplacer l’actuel au Pont de Bramont, lequel, je tiens à le rappeler, est situé sur un terrain privé dont la commune n’a pas le pouvoir d’interdire l’usage à son propriétaire.
Deux gros mensonges en quelques lignes :
1/ vous avez signé des arrêtés illégaux autorisant le parking de Bramont voir ici et ici.
2/ terrain privé ou pas, il est soumis à une réglementation dictée par une Déclaration d’Utilité Publique signée par le Préfet et dont, vous devez assurer en tant que Maire l’exécution. Voir ici.
Quant à un certain M. Humbert comme vous dites, il est dans son droit en exprimant une position qui me paraît particulièrement bien argumentée, ce qui ne semble pas être le cas de la vôtre, à l’encontre d’un projet inutile et destructeur.
Sous le sous-titre « Et M. Mathieu parle de service public ! » vous écrivez avoir l’impression d’entendre le renard vous expliquer comment protéger le poulailler…
Ce faisant, vous posez un jugement de valeur dénué de tout fondement à l’encontre de mon 2ème adjoint, en cette qualité officier de police judiciaire, et dépositaire de l’autorité publique :
Vous qui semblez bien aimer par ailleurs vous référer au site Wikipédia, voici la définition qu’il donne de la diffamation : « concept juridique désignant le fait de tenir des propos portant atteinte à l’honneur d’une personne physique ou morale »
Et c‘est vous qui, au 3ème paragraphe, nous accusez d’en faire preuve à votre égard dans l’article du groupe majoritaire publié dans le bulletin municipal de juillet/août ?
On croit rêver et je vous invite, ainsi que vos lecteurs, à le relire car pour notre part, contrairement à ce que vous avancez, nous ne nous sommes pas laissés aller à désigner nommément un individu à la vindicte populaire, comme vous le faites en laissant -qui plus est- planer le doute sur son intégrité.
Honneur et diffamation, sous votre plume les mots s’émoussent trop vite. Vous êtes encore hors sujet, et il ne suffit pas de répéter à l’envi diffamation, diffamation, honneur, honneur, pour que l’atteinte à l’honneur et la diffamation soient avérées. Il y a des tribunaux pour cela. De plus, on peine à comprendre ce que les attributs, nombreux et variés, personne n’ose en douter, de votre deuxième adjoint viennent faire ici.
S’agissant de la diffamation, terme dont vous usez abondamment à l’égard de ceux qui osent vous critiquer, sans doute dans l’objectif de les faire taire, vous la pratiquez tout aussi abondamment, à la façon du célèbre Monsieur Jourdain de Molière, qui dit de la prose sans le savoir. Je vous cite, où plutôt votre tribune non signée, dans le bulletin municipal :«…qui n’a d’autres but que de servir leurs petits intérêts personnel » “ et plus loin : “Méfions-nous des visions trop dogmatiques et doctrinales dont nous savons qu’elles peuvent parfois conduire au fanatisme”. Difficile de faire pire sinon à pratiquer l’insulte !!
Monsieur Mathieu est un homme public, comme vous même et tous les élus. Ecrire son nom dans un article qui traite de son action d’élu consisterait, à vous lire, à le « désigner à la vindicte populaire » Je ne m’avancerai pas dans l’interprétation de vos excès de langage, mais je vous renverrai simplement à cette sage maxime que je livre à votre sagacité : « tout ce qui est excessif est insignifiant »
Quant à votre dernière affirmation sur l’intégrité, votre imagination vous joue de bien mauvais tours. Je vous mets au défi de m’indiquer à quelle phrase, que j’aurais écrite, elle correspond. Car à trop falsifier on risque de se prendre les pieds dans le tapis, et cela semble devenir une de vos spécialités. En effet vous confondez Monsieur le Maire : c’est votre article non signé dans le bulletin municipal, qui met en cause sans détours, l’intégrité de ceux qui osent s’opposer à vos projets lorsque vous écrivez : «…qui n’a d’autres but que de servir leurs petits intérêts personnel »
Au 12ème paragraphe, vous indiquez que, lors de cette même séance du Conseil Municipal, « il n’y a pas eu un mot sur la régularisation par avenant du statut du parking de Belle-Hutte ».
Là encore, vous trompez vos lecteurs puisque, comme vous le savez, cette question a été abordée lors de la précédente séance du Conseil Municipal du 11 mai, comme en atteste le compte-rendu.
J’ai informé alors le Conseil Municipal qu’une rencontre avait eu lieu avec les représentants de Labellemontagne afin justement de faire le point de l’actuel contrat de délégation de service public et qu’il avait été convenu de le mettre à jour par voie d’avenant interprétatif pour intégrer la mise à disposition des parkings sud et de Belle-Hutte.
J’ai bien précisé que cet avenant serait effectivement soumis au Conseil Municipal mais pas nécessairement à la séance suivante qui était celle du 22 juin.
Ce n’est plus un procédé c’est une avalanche de falsifications. Oui ce point ne fut pas évoqué lors de ce conseil. Qu’il ait été évoqué lors de la précédente séance n’annule pas la vérité de mon propos, et je ne trompe personne, en tout cas parmi celles et ceux qui savent lire.
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Je ne vous imiterai pas car j’ai décidé pour ma part de ne plus laisser passer sans réagir vos mensonges, accusations et atteintes à notre honneur, sans faire valoir -chaque fois que nécessaire- le droit de réponse auquel nous avons droit mais que vous nous avez dénié jusque là.
Oh le gros mensonge ! Monsieur le Maire, je vous remercie de me faire savoir où, quand et comment, je vous aurais dénié le droit de réponse auquel vous avez droit ? Pour que je vous l’aie une fois dénié, il eût fallu que vous me l’ayez une fois demandé. J’attends avec curiosité les preuves que vous ne manquerez pas de m’apporter. Et bien entendu, je m’engage à les publier. Dans le cas où elles n’existeraient pas, je vous saurais gré de considérer que les « atteintes à votre honneur » dont vous semblez faire un leitmotiv, sont le résultat de votre seul pharisaïsme.
S’agissant en second lieu de la réunion du 26 mai qui s’est tenue à la salle des fêtes concernant l’EHPAD, sur laquelle vous revenez au paragraphe 17, et que vous avez présentée sur votre blog sous le titre « EHPAD La Bresse, une réunion pour rien ! » vous indiquez que j’ai déclaré avoir interrogé une magistrate de la Chambre Régionale des Comptes de Lorraine sur la possibilité pour la commune de verser une subvention d’équilibre à l’EHPAD et que cette dernière m’aurait répondu par la négative.
Je tiens à réaffirmer ici que c’est la stricte vérité et que là encore, en utilisant le conditionnel, vous laissez planer le doute sur la véracité de mes propos et sur mon intégrité.
Le conditionnel n’a pas été créé pour laisser planer le doute sur vos propos et encore moins sur votre intégrité, encore les grands mots ! Il s’agit d’une forme couramment utilisée (dans la presse notamment) pour rapporter des paroles entendues. Epargnez-vous de chercher la petite bête là où il n’y en a pas.
Vous indiquez ensuite que cette réponse orale n’engage personne et vous produisez pour la contredire notamment une note du Ministère des Affaires Sociales, pour être plus précis la note d’information DGAS/5B n° 2004/379 du 2.08.2004.
Fidèle à ce qui tend à devenir chez vous une habitude, vous travestissez une fois de plus la réalité, n’extrayant de cette note que le passage qui vous arrange, afin de déformer la vérité.
Aussi, pour la rétablir, je vous invite, ainsi que vos fidèles lecteurs, à relire plus attentivement jusqu’au bout cette fameuse note, laquelle à la suite du passage que vous en donnez et qui précise qu’effectivement aucune disposition législative ou réglementaire n’interdit le principe du versement d’une subvention d’équilibre à un EHPAD géré par un CCAS, se poursuit en ces termes :
… « Cependant il faut souligner que c’est une solution de court terme qui masque des difficultés de financement pour couvrir les charges d’exploitation (prix de journée, tarifs ou dotations insuffisantes)
La subvention ne fait que reporter le problème sur l’exercice suivant et le danger, c’est qu’elle se pérennise. Cette procédure est contraire à la sincérité des comptes et peut même être dans le secteur des personnes âgées constitutive d’une concurrence déloyale avec les établissements commerciaux »…
Je vous remercie de citer la suite du passage que je mentionne. Tout d’abord il n’invalide pas la possibilité pour la commune de verser une subvention d’équilibre à l’EHPAD et c’est cela l’essentiel. Ensuite, même s’il décrit quelques occurrences particulières, sa conclusion évoquant la concurrence déloyale avec les établissements commerciaux, vient confirmer s’il en était besoin ce que je dis plus loin concernant le détricotage du système français de solidarité. Détricotage à propos duquel j’ai écrit que vous participiez sans état d’âme. Je persiste et je signe.
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J’ajoute que, quand bien même le principe d’une telle subvention d’équilibre est légalement possible, cela revient à faire supporter à l’ensemble des contribuables bressauds une aide qui, elle, ne profiterait pas qu’à des bressauds.
Vision étriquée de la solidarité. Mais c’est la vôtre !
Ce serait injuste, notamment par rapport à ceux qui ont choisi le maintien de leurs parents âgés au domicile, au prix d’efforts financiers et humains importants et qui ne bénéficieraient, eux, d’aucune aide municipale.
Rien n’empêche la municipalité de contribuer avec les autres acteurs de ce domaine au soutien du financement pour le maintien à domicile des personnes dépendantes.
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Quant à votre article publié le 16 juillet à ce sujet, quand vous me présentez par conséquent au paragraphe 10 comme refusant toute recherche de solution alternative, il s’agit là d’un mensonge qui frise là encore la diffamation.
Vous critiquer Monsieur le Maire, c’est vous diffamer ! Vous considéreriez-vous comme intouchable? N’êtes-vous déjà plus en mesure d’accepter la contradiction? Cela rappelle le crime de lèse majesté. A peine une année aux manettes, et vous voilà déjà ayant jeté aux oubliettes vos « belles déclarations de campagne » sur la démocratie et le respect des oppositions.
Il en va de même lorsque vous nous accusez, au paragraphe 12 de ce même article, de participer au détricotage du système français de solidarité ; de faire semblant de s’opposer à l’augmentation des tarifs à l’EHPAD et de taxer sans vergogne les personnes les plus vulnérables au paragraphe 14 ; et en guise de bouquet final, lorsque vous nous jugez incapables d’élever le débat au-dessus de la ligne de solde d’un compte d’exploitation au paragraphe 16.
C’est pourtant la réalité. Vous avez d’abord voté contre l’augmentation des tarifs, puis après vous être fait taper sur les doigts par vos amis politiques de la majorité départementale, vous avez toute honte bue, à peine deux mois plus tard, opéré une volte face à 180° et voté pour ! Certains expliqueront que c’est là un signe incontestable de courage politique ! Bienheureux, ceux là mêmes qui les croiront.
La réalité est toute autre : en poursuivant la dynamique antérieure et forts des différents contrôles et audits menés à l’EHPAD en début d’année, dont une enquête de satisfaction, La Bresse peut en effet s’enorgueillir de bénéficier d’un établissement accessible au plus grand nombre et répondant aux attentes des personnes âgées d’aujourd’hui.
En matière de contrôle il semble que vous ayez oublié le plus important. Il eût en effet été plus utile de faire intervenir la commission de sécurité avant de ré-ouvrir en décembre 2014, l’aile de l’EHPAD du 27 rue de la Clairie qui a connu d’importants travaux de mises aux normes. La commission de sécurité est passée le 8 juillet 2015, soit 6 mois après que le bâtiment fut ré-occupé par les résidents. La commission a été sollicitée par vous-même à la suite d’un courrier que vous a adressé Madame Aucante, Présidente de l’association de défense des résidents et de leurs familles, qui s’inquiétait de son passage. Rappelons que l’avis de cette commission est obligatoire après de tels travaux, et avant toute occupation des locaux. Cette faute majeure des services placés sous votre autorité, aurait pu avoir des conséquences dramatiques. Vous devriez d’ailleurs Monsieur le Maire, remercier Madame Aucante, de vous avoir alerté de ce manquement grave, qui lui ne « frise pas » comme vous vous plaisez à le répéter, mais constitue une marque patente de l’inconséquence du ou des responsables de ce manquement.
Sauf erreur, Madame Aucante n’a pas encore reçu de votre part les marques de reconnaissance qui lui sont dues! J’ai même entendu dire que c’est tout le contraire qu’elle a dû subir. J’ai aussi entendu dire que ces événements ne resteraient pas sans suite.
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Quant au diagnostic que vous posez –en savant que vous aimez jouer- au paragraphe 12 de ce même article, selon lequel nous serions atteints –pour reprendre vos propres termes- « de dissonance cognitive ou -formulé plus simplement- d’exprimer une chose et de faire le contraire », je vous renvoie le compliment puisque vous refusez aux visiteurs de votre site de se cacher derrière des pseudos alors que vous-même en utilisez un pour jeter le discrédit sur certains membres de la municipalité et que vous vous présentez ensuite en victime : le comble !
En d’autres termes : faites comme je dis, pas comme je fais…
Derniers paragraphes, dernières falsifications. Les visiteurs peuvent, contrairement à vos assertions décidément infondées, utiliser un pseudo pour publier des commentaires. Où avez vous lu que c’était interdit ? En revanche, ils doivent laisser une adresse mail valide et respecter quelques règles de base du débat, rappelées dans la charte. L’adresse mail n’étant pas publiée bien entendu.
Quant au discrédit dont vous parlez, vous-même et votre majorité suffisez largement à le répandre. Je n’ai point besoin de m’y associer.
Pour ma part, je conclurai ce droit de réponse en laissant à votre méditation cette expression : « Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage », Pas très moral, mais il est vrai que la morale n’a plus beaucoup cours aujourd’hui et ne fait plus recette : on ne peut que le regretter.
Le Maire de La Bresse,
Hubert ARNOULD
N’ayant aucune maxime édifiante qui, contrairement à vous, ne me soit venue à l’esprit afin de la soumettre à l’exercice de votre méditation, je conclurai brièvement par cette pensée personnelle : vous auriez beaucoup gagné à vous dispenser de ce droit de réponse.
Le 12 août 2015
Gracchus